Récemment, le gouvernement a achevé le contrôle budgétaire et est parvenu à un accord. Dans ce document, les économies sont fixées à 2024. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des mesures d’intérêt pour les employeurs.
Réduction des allocations de chômage temporaire
À partir du 1er janvier 2024, les allocations de chômage temporaire versées par l’ONEM seront calculées à 60 % du salaire plafonné au lieu de 65 % du salaire plafonné.
En guise de compensation, le travailleur en chômage temporaire reçoit un supplément à la charge de l’employeur. Ce supplément s’ajoute aux suppléments existants prévus par la loi, les CCT ou d’autres accords d’entreprise.
L’ajustement s’applique à toutes les formes de chômage temporaire, à l’exception du chômage temporaire dû à la force majeure.
Augmentation limitée des allocations sociales
L’augmentation future des allocations sociales sera plafonnée en 2024. Il s’agit notamment des allocations de chômage, des indemnités d’incapacité de travail, des pensions minimales, etc.
Le relèvement des plafonds de pension des travailleurs et des fonctionnaires, prévu pour le 1er janvier 2024, sera purement et simplement supprimé.
Ce faisant, le gouvernement vise à creuser l’écart entre les revenus de l’emploi et ceux de l’inactivité.
Réduction groupe-cible « Premier engagement »
Le montant de la réduction groupe-cible pour l’engagement d’un premier travailleur sera limité à 3 100 € par trimestre à partir du 1erjanvier 2024.
La réduction groupe-cible pour le 4e, 5e et 6e travailleur sera supprimée.
Source : divers médias